Si les pluies abondantes s’annoncent bénéfiques pour les réserves des barrages, il faudra attendre le mois de mars pour juger de leurs effets sur la campagne agricole. Alors que le Maroc se trouve en situation de stress hydrique, le sud et l’est ne sont pas les seuls touchés par le manque d’eau. Confrontée à l’urbanisation et à l’exode rural, à moyen terme, la capitale économique pourrait également connaître des tensions au niveau de cette ressource vitale. Rachid Hallaouy et Yassine El Azzaz nous en parlent.
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